Changer de secteur d’activité et repartir de zéro : témoignage
Jean-Philippe Thévenot exerce une partie
de sa carrière dans une entreprise de prêt-à-porter. L’année dernière, il décide de se lancer dans une nouvelle
aventure et d’aider la coopérativeAlkorà ouvrir une nouvelle filiale en
partant d’une page blanche.
Quel poste occupez-vous chez Alkor ?
Auparavant, j’étais directeur d’enseignes dans le prêt-à-porter. En intégrant Alkor, j’ai changé de secteur
d’activité mais conservé le même poste.
Comment s’est passée votre recherche d’emploi ?
J’ai répondu à une annonce sur UptooJobs, puis j’ai passé un test commercial. Ce test de vente est assez ludique et bien fait ; il permet
d’évaluer les techniques de vente, de déterminer le profil commercial du candidat (chasseur ou éleveur) et de définir
les affinités. Suite à ce test, j’ai été contacté par Rayan. L’ensemble du processus a été assez rapide.
Quand vous aimez les clients, les gens, les magasins, etc., le produit peut paraître moins sexy et moins glamour, mais avant tout, ça reste une aventure avec un développement et une forte valorisation de l’humain.
Étiez-vous encore en poste à ce moment-là ?
J’étais en veille et je savais que je voulais continuer à exercer ma fonction de directeur d’enseignes. Je suis
vraiment attaché à la dimension de magasins et quand vous aimez les clients, les gens, les magasins, etc., le produit
peut paraître moins sexy et moins glamour, mais cela reste avant tout une aventure avec un développement et une forte
valorisation de l’humain. C’est ce qui me plaisait. Le métier de directeur d’enseignes s’éloigne un peu du produit en
lui-même : il se rapproche plus de la démarche commerciale, de la rentabilité, du concept et de la stratégie que de
l’opérationnel produit.
Au mois de janvier, j’ai vu cette offre sur le site UptooJobs qui m’a interpellée. C’est ainsi que je suis entré en
contact avec Rayan. Par la suite, j’ai été convoqué par l’entreprise, je n’ai pas vraiment eu de temps d’attente.
La coopérative voulait recruter un directeur d’enseignes pour développer intégralement une nouvelle filiale du groupe en partant d’une page blanche.
Comment s’est passé votre changement de poste ?
J’ai passé deux entretiens avec Rayan puis deux entretiens avec la coopérative. La coopérative souhaitait recruter un
directeur d’enseignes pour développer une nouvelle filiale du groupe en partant d’une page blanche. Et de mon côté
c’est ce que je recherchais : du développement, du merchandising, du parcours client etc.
Je suisTony Micellidans “Madame est Servie ! Dans le métier de directeur d’enseignes, il faut être polyvalent à l’écoute et disponible.
Votre quotidien concrètement aujourd’hui ?
Je suis Tony Micelli dans Madame est Servie !
(rire). Dans le métier de directeur d’enseignes, il faut être polyvalent (fonctionnel et opérationnel) :
passer du marketing au concept, du produit au développement et à l’animation. Lorsqu’on lance un réseau et que l’on
part d’une page blanche, il faut identifier le business model, le nom de l’enseigne, la charte graphique, le concept,
l’assortiment, la tarification, le web. Mon rôle actuellement est de chaperonner tout ce développement, le
back-office. Dans un second temps, je serai davantage sur l’animation et le développement.
Et maintenant dans votre nouvelle coopérative… Performez-vous ?
Pour le moment le timing que nous nous étions fixés pour mettre en place les premiers jalons de cette nouvelle
aventure est respecté. Nous sommes également dans une aventure humaine.
Ma mission est d’aller au contact de prospects et d’adhérents afin de créer ou modifier leur structure existante avec
eux pour développer une enseigne nationale.
Qu’est-ce que vous avez le plus aimé dans votre relation avec Uptoo ?
Rayan est quelqu’un de bien et de posé. Il sait faire la transversalité entre les clients pour lesquels il doit
recruter et les candidats qu’il a en entretien ; il comprend les attentes des deux parties, celles du client et du
candidat. Pour ma part, je n’ai pas eu de contact physique avec Uptoo, je n’ai pas eu de visage : c’était uniquement
un contact téléphonique et tout a reposé sur la personne avec qui je communiquais. Je serai ravi de pouvoir l’avoir au
téléphone de nouveau aujourd’hui.
Un dernier mot pour la fin, que vous souhaite-t-on pour la suite ?
Pleins de belles ouvertures de magasins et de belles réussites pour celles et ceux qui nous suivrons, nous sommes
dans une véritable aventure humaine ! Mon plaisir passe par la réussite de mes clients.
Changer de secteur d’activité et repartir de zéro : témoignage
Jean-Philippe Thévenot exerce une partie de sa carrière dans une entreprise de prêt-à-porter. L’année dernière, il décide de se lancer dans une nouvelle aventure et d’aider la coopérativeAlkorà ouvrir une nouvelle filiale en partant d’une page blanche.
Quel poste occupez-vous chez Alkor ?
Auparavant, j’étais directeur d’enseignes dans le prêt-à-porter. En intégrant Alkor, j’ai changé de secteur d’activité mais conservé le même poste.
Comment s’est passée votre recherche d’emploi ?
J’ai répondu à une annonce sur UptooJobs, puis j’ai passé un test commercial. Ce test de vente est assez ludique et bien fait ; il permet d’évaluer les techniques de vente, de déterminer le profil commercial du candidat (chasseur ou éleveur) et de définir les affinités. Suite à ce test, j’ai été contacté par Rayan. L’ensemble du processus a été assez rapide.
Étiez-vous encore en poste à ce moment-là ?
J’étais en veille et je savais que je voulais continuer à exercer ma fonction de directeur d’enseignes. Je suis vraiment attaché à la dimension de magasins et quand vous aimez les clients, les gens, les magasins, etc., le produit peut paraître moins sexy et moins glamour, mais cela reste avant tout une aventure avec un développement et une forte valorisation de l’humain. C’est ce qui me plaisait. Le métier de directeur d’enseignes s’éloigne un peu du produit en lui-même : il se rapproche plus de la démarche commerciale, de la rentabilité, du concept et de la stratégie que de l’opérationnel produit.
Au mois de janvier, j’ai vu cette offre sur le site UptooJobs qui m’a interpellée. C’est ainsi que je suis entré en contact avec Rayan. Par la suite, j’ai été convoqué par l’entreprise, je n’ai pas vraiment eu de temps d’attente.
Comment s’est passé votre changement de poste ?
J’ai passé deux entretiens avec Rayan puis deux entretiens avec la coopérative. La coopérative souhaitait recruter un directeur d’enseignes pour développer une nouvelle filiale du groupe en partant d’une page blanche. Et de mon côté c’est ce que je recherchais : du développement, du merchandising, du parcours client etc.
Votre quotidien concrètement aujourd’hui ?
Je suis Tony Micelli dans Madame est Servie ! (rire). Dans le métier de directeur d’enseignes, il faut être polyvalent (fonctionnel et opérationnel) : passer du marketing au concept, du produit au développement et à l’animation. Lorsqu’on lance un réseau et que l’on part d’une page blanche, il faut identifier le business model, le nom de l’enseigne, la charte graphique, le concept, l’assortiment, la tarification, le web. Mon rôle actuellement est de chaperonner tout ce développement, le back-office. Dans un second temps, je serai davantage sur l’animation et le développement.
Et maintenant dans votre nouvelle coopérative… Performez-vous ?
Pour le moment le timing que nous nous étions fixés pour mettre en place les premiers jalons de cette nouvelle aventure est respecté. Nous sommes également dans une aventure humaine.
Ma mission est d’aller au contact de prospects et d’adhérents afin de créer ou modifier leur structure existante avec eux pour développer une enseigne nationale.
Qu’est-ce que vous avez le plus aimé dans votre relation avec Uptoo ?
Rayan est quelqu’un de bien et de posé. Il sait faire la transversalité entre les clients pour lesquels il doit recruter et les candidats qu’il a en entretien ; il comprend les attentes des deux parties, celles du client et du candidat. Pour ma part, je n’ai pas eu de contact physique avec Uptoo, je n’ai pas eu de visage : c’était uniquement un contact téléphonique et tout a reposé sur la personne avec qui je communiquais. Je serai ravi de pouvoir l’avoir au téléphone de nouveau aujourd’hui.
Un dernier mot pour la fin, que vous souhaite-t-on pour la suite ?
Pleins de belles ouvertures de magasins et de belles réussites pour celles et ceux qui nous suivrons, nous sommes dans une véritable aventure humaine ! Mon plaisir passe par la réussite de mes clients.
Rédigé par Flavien Candela
Dernière modification le : 25/03/2024